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Lilian Jackson BraunJim Qwilleran (Le Chat qui...) tome 1 sur 29
Marie-Louise Navarro (Traducteur)
EAN : 9782264017291
221 pages
10-18 (18/11/1999)
3.48/5 225 notes
Résumé :
Jim Qwilleran 01
Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de rédacteur artistique est une véritable gageure étant donné qu'il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui-même est bril... >Voir plus
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journalisme roman thriller suspense enquête policière romans policiers et polars chats enquêtes art grands détectives humour britannique humour peinture animaux meurtre détective états-unis policier américain littérature américaine 20ème siècle
Que lire après Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir miauler à temps)Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (42)Voir plusAjouter une critique
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Souri7 30 août 2019 Signaler ce contenuPage de la critique 🐱✏️🎨Premier tome de la série Jim Qwilleran.🎨✏️🐱 Jim Qwilleran, quarantenaire, grand reporter a tout perdu. Sa femme l'a quitté, ses relations avec le monde journalistique ont basculé de telle manière qu'il est contraint pour survivre d'accepter un poste de pigiste dans un journal sans envergure : le Daily Fluxion. Sa mission est simple, Jim Qwilleran est chargé par son patron de réaliser des portraits élogieux des artistes de la ville afin de contrebalancer les critiques acides du journaliste attitré et détesté par le milieu de l'art : Georges Bonifield Mountclemens III. Cette série à la particularité de débuter tous ses titres par "Le chat qui..." Les romans sont courts, les couvertures sympathiques et les personnages sont plongés dans des univers variés vus à travers le prisme du journaliste et de Koko, le chat. Lilian Jackson Braun nous offre une série policière sans chichis, sans complication où le crime n'est là que pour apporter une raison au récit. L'accent est surtout donné à l'humour décalé, au comportement dérangeant de Koko et aux moustaches de Jim Qwilleran, qui réagissent comme celles de Koko à la moindre bizarrerie. Ce duo atypique et pétillant donne une vraie fraîcheur au récit. Dans ce premier volet, l'auteur semble prendre un malin plaisir à dénigrer le monde de l'art. Entre les pseudo critiques qui savent ce qui est une oeuvre d'art et une croute, les galeristes qui sont surtout là pour faire de l'argent, les peintres et autres artistes qui se voient tous comme des êtres incompris... cela donne de la matière. Notre Jim Qwilleran n'y connait rien et se retrouve plongé dans cet univers du paraître, des jalousies et de l'argent. Face à des oeuvres contemporaines où des triangles emballent cette société, où la dénomination d'une oeuvre en Chose n°17 sous la forme d'une roue de bicyclette captive le gotha artistique, il y aura de quoi faire. Au final, un vrai plaisir de relire cette série qui m'avait captivée. C'est frais, c'est touchant, c'est drôle, c'est simple... La lecture est aisée avec des chapitres courts, une narration fluide et des situations comportementales assez sympathiques. À lire ou relire. 😋 Commenter  Japprécie         1456
Ses premières investigations conduisent Qwilleran à faire la rencontre de son acolyte et à rencontrer les ennemis de celui-ci. Un soir, Earl Lambreth est retrouvé assassiné dans sa galerie d'art... puis c'est le tour de Georges Bonifield Mountclemens III laissant comme seul témoin du meurtre, Kao K'O Kung o(u Koko pour les intimes), un chat siamois à la personnalité prononcée...
LePamplemousse 09 octobre 2017 Signaler ce contenuPage de la critique Ecrite entre 1966 et 2008, cette série de trente titres pseudo-policière mais véritablement humoristique, dont le titre commence invariablement par «le chat qui...» est une totale découverte pour moi. On sent bien que l'auteur a eu plaisir à se moquer de toutes ses soit-disant oeuvres d'art contemporaines où l'on s'extasie sur un coup de pinceau beige sur une toile blanche, sur un monticule de déchets rebaptisé par un terme conceptuel ou sur une sorte d'échafaudage dont on ne sait si c'est une oeuvre impressionnante ou un oubli des ouvriers du coin. Commenter  Japprécie         363
J'avais déjà vu passer cette série à de nombreuses reprises mais je n'avais pas encore pris le temps d'en lire un seul.
J'ai rattrapé mon retard ce week-end en dévorant les trois premiers tomes et je compte bien continuer sur ma lancée en les intercalant avec des lectures plus denses.
Le chat en question c'est Kao K'O Kung, un siamois surnommé aussi Koko, et c'est ce chat et non son maître Jim Qwilleran, un moustachu qui porte des cravates écossaises, qui résout des énigmes, qui comprend qui a volé quoi, qui a tué qui etc... et comme il est très conciliant, il en fait part à Jim, lequel ne joue jamais les héros mais rapporte fidèlement à la police les informations.
Jim Qwilleran est un ancien journaliste spécialisé dans les affaires criminelles, mais il doit désormais se contenter d'écrire des chroniques artistiques dans un journal, ce qui n'est pas simple, vu qu'il ne connaît absolument rien au monde de l'art, c'est d'ailleurs pour cela qu'on lui a proposé le poste, car d'après son chef, l'expérience peut nuire!
Dans cette première enquête, il va être confronté à un vol d'objets d'art et à des meurtres.
Les romans sont tous très courts (moins de 200 pages), il n'y a donc aucun temps morts, l'intrigue est rapide, enlevée et cocasse, Jim et son chat sont tous les deux des personnalités charismatiques et chaque volume nous fait découvrir un milieu différent.
CatF 15 novembre 2023 Signaler ce contenuPage de la critique Et mince
me voilà pris au piège ! Lors d'un de mes achats compulsifs, je me suis retrouvé avec 3 tomes de cette saga
il y en a 29 tout de même
J'ai le tome 1, 16 et 23
Il me reste deux solutions : soit je lis ces trois tomes en me disant que ça devrait le faire quand même
(ce que j'espérais avant de lire le tome 1)
soit je continue mes achats compulsifs en recherchant chacun des ouvrages manquants
ça risque de prendre beaucoup de temps
trop de temps
En résumé, j'ai adoré ce tome 1, une enquête qui nous mène à vouloir savoir la suite
à comprendre tout ce que nous n'avons pas su dans le tome 1. Mais aurais-je le coeur ou la motivation ? La suite au prochain tome
dans quelques années peut-être
Bonne lecture! Commenter  Japprécie         375
Musa_aka_Cthulie 14 juin 2015 Signaler ce contenuPage de la critique Ce roman de Lilian Jackson Braun est le tout premier de la série du "Chat qui...", publié en 1966. C'est donc ici que l'on découvre le héros, Jim Qwilleran, ancien journaliste spécialisé dans la criminalité et ayant connu bien des déboires à cause de son alcoolisme. Au moment où débute l'histoire, Qwilleran ne demande qu'à saisir une seconde chance dans le journalisme et réussit à se faire embaucher au "Daily Fluxion", dans une grande ville (imaginaire mais qui ressemble à Detroit) du Middle West. Pas de chance, le seul poste qu'on est disposé à lui accorder se révèle être celui de chroniqueur à la rubrique "Arts", domaine qu'il ne connaît absolument pas (et qui ne l'intéresse pas vraiment). Il aura sans cesse affaire à des artistes plus qu'excédés par un critique acerbe, collègue de Qwilleran au "Daily Fluxion". S'en suivront un meurtre, puis un second, et, surtout, l'apparition d'un personnage essentiel pour la série: Kao K'o Kung, plus communément appelé Koko, un chat siamois particulièrement malin et au potentiel étonnant: il serait doté d'un véritable sixième sens. Bon, raconté comme ça, rien d'extrêmement emballant. A vrai dire, en lisant la série, je fais plus ou moins abstraction des élucubrations sur les capacités extra-sensorielles de Koko, car je trouve que cet élément a tendance à affaiblir, voire abêtir plus ou moins les histoires. Mais je ne peux pas dire non plus que je sois terriblement enthousiasmée par les enquêtes, qui n'en sont pas vraiment. Certes, ici, des meurtres ont lieu, sans qu'on sache forcément que ce sont des meurtres. Certes, Qwilleran se pose des questions. Pour autant, il ne mène pas une enquête en bonne et due forme; tout juste pose-t-il une ou deux questions par-ci par-là. Finalement, le dénouement intervient plutôt par hasard. Et pourtant, j'ai du plaisir à relire régulièrement ce roman qui n'est pas un chef-d'oeuvre de la littérature policière. On voit bien que l'auteure ne s'y connaît guère en art contemporain (et en art tout court) et les clichés sur les artistes pullulent, mais sans qu'il y entre de l'amertume ou de l'agressivité. le tout est mâtiné d'un certain humour, les pérégrinations du héros dans le monde de l'art et celui de la presse sont agréables à suivre, le tout rendant la lecture sympathique. Lorsque je m'ennuie et que je ne sais pas quoi lire, que je suis malade ou trop fatiguée, je trouve toujours plaisant de me replonger dans un roman de la série du "Chat qui...", et particulièrement dans ceux du début, où je m'absorbe dans l'ambiance surannée des années soixante. A noter qu'à partir du quatrième roman, on passe directement aux années quatre-vingts, mais nous aurons l'occasion d'en reparler. Commenter  Japprécie         230
Eroblin 22 mai 2018 Signaler ce contenuPage de la critique « le chat qui lisait à l'envers » correspond au dernier livre que j'ai lu dans le cadre du Challenge week-end à 1000 pages. Mais c'est aussi le premier tome d'une série que je veux lire depuis longtemps. Malheureusem*nt, le premier tome souffre d'une introduction un peu trop longue, destinée à permettre au lecteur de faire connaissance avec le protagoniste principal Jim Qwilleran, un journaliste au chômage qui se retrouve catapulté critique d'art alors qu'il n'y connaît rien. Et surtout de découvrir un personnage essentiel à la série, j'ai parlé du chat Kao K'O Kung dit Koko pour les intimes, un siamois qui s'il savait parler, dirait tout le mal qu'il pense du monde des hommes. Il faut attendre la moitié du livre pour qu'un meurtre ait lieu et que l'enquête puisse commencer. Elle ne m'a pas passionnée c'est le moins que l'on puisse dire, elle tourne autour de trois cadavres et de faux en peinture. Par contre j'ai beaucoup aimé le chat et les interactions entre lui et Qwilleran : des deux on se demande qui est le maître. Je lirai sans doute d'autres titres de cette série en espérant que les intrigues seront plus riches et attirantes. Commenter  Japprécie         220
Lien : https://labibdeneko.blogspot..
Citations et extraits (21)Voir plusAjouter une citation
clairemarqu...
29 juillet 2024
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- Voici une invitation qui pourrait vous intéresser, dit-il., avez-vous jamais eu l'infortune d'assister à un "Événement" ?
- Non, de quoi s'agit-t-il ?
- C'est une soirée d'un ennui mortel, perpétrée par des artistes et infligée à un public assez jobard pour payer son entrée. Cependant, cette carte vous permettra de vous y rendre sans bourse délier et vous y trouverez probablement matière à un article. Vous vous amuserez même, peut-être, qui sait? Je vous conseille de porter de vieux vêtements.
L'Evénement avait un nom. Il s'intitulait "Lourd, Lourd Au-Dessus De Votre Tête". II devait avoir lieu le lendemain soir, à l'École Penniman des Beaux-Arts. Qwilleran déclara qu'il irait.
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clairemarqu...
29 juillet 2024
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- Comment créez-vous ces uvres d'art ? Quelle est votre technique ?
-Je les vis, dit Ciseau. « Trente-six » est ce que je suis, étais et serai. Hier n'est plus et s'en soucie ? Si je mets le feu à cet atelier, je vis...dans chaque flamme, flambante, fumigène, ful- gurante...
- Avez-vous une assurance contre l'incendie ?
- Si j'en ai une, tant mieux. Si je n'en ai pas. qu'importe? Tout est relatif. L'homme aime, hait, pleure, joue, mais que peut faire un artiste ? Boom-Boom ! C'est ainsi que tout finit. Le monde de l'au-delà, le monde de l'au-delà !
- Un concept cosmique, approuva Qwilleran, mais les gens comprennent-ils vos idées?
- Ils usent leur cervelle à essayer, mais je sais, vous savez, nous savons tous... que savons-nous ? Rien !
Dans son exaltation, Ciseau se rapprocha du journaliste et Qwilleran recula discrètement.
- Ciseau, vous semblez pessimiste, mais votre succès à la galerie Lambreth ne vous a-t-il pas aidé à prendre une attitude positive à l'égard de la vie?
- Femme, fausse, folâtre et faible! Je lui ai parlé. Elle m'a répondu. Nous avons communiqué.
- Savez-vous que son mari est mort assassiné ?
- Nous sommes tous morts. Morts, comme des poignées de porte !
Il bondit sur ses pieds et se mit à hurler :
- Morts comme des poignées de porte !
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clairemarqu...
28 juillet 2024
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Les chats ont des facultés que ne possèdent pas les humains et nous avons tort de les juger selon nos propres critères. Pour comprendre un chat, vous devez savoir qu'il a ses dons, son point de vue et même sa moralité. Le fait qu'il ne parle pas ne constitue nullement une infériorité. Les chats méprisent les discours. Pourquoi parleraient-ils alors qu'ils peuvent communiquer sans utiliser de mots ? IIs s'arrangent très bien pour se comprendre entre eux et ils essaient patiemment de nous faire part de leurs pensées. Mais pour comprendre un chat, vous devez vous-même vous montrer détendu et réceptif.
Les manières du critique frappaient par leur sérieux et leur érudition.
- La plupart du temps, les chats ont recours à la pantomime. Kao K'O Kung utilise un code quil est aisé de traduire. Il griffe des objets pour attirer l'attention. ll renifle pour indiquer la suspicion. II se frotte sur vos chevilles lorsqu'il désire un service et il montre les dents pour manifester sa désapprobation. Il a aussi une façon féline d'exprimer son mépris.
- J'aimerais bien voir cela.
- C'est très simple. Quand ce chat qui est un modèle de grâce et d'harmonie se roule soudain dans une pose disgracieuse et se gratte les oreilles, il vous dit, monsieur, d'aller au diable
Mountclemens enleva les assiettes à soupe et à apporta une terrine de poulet dans une sauce sombre et mystérieuse. Un miaulement sonore s'éleva du meuble.
- Nul besoin d'antenne pour comprendre ce message, déclara Jim.
- Le défaut d'antenne dans l'anatomie humaine m'a toujours semblé une grave lacune. Avec quelques dispositifs de ce genre, imaginez ce qu'un homme pourrait gagner en matière de communication et de pronostics! Ce que nous appelons de la perception extra-sensorielle est une expérience normale pour un chat. Il sait ce que vous pensez, ce que vous allez faire et d'où vous venez. J'échangerais volontiers une de mes oreilles ou un bras pour une paire de moustaches félines en bon état de fonctionnement.
Qwilleran posa sa fourchette et s'essuya soigneusem*nt les lèvres à sa serviette.
- Ceci est intéressant, dit-il, puis il toussota deux ou trois fois avant de poursuivre. Puis-je vous confier quelque chose? Il m'arrive quelque chose de curieux avec mes moustaches. Je n'en ai jamais parlé à personne, mais depuis que je les ai laissées pousser, j'ai l'idée étrange que je suis plus... réceptif. Comprenez-vous ce que je veux dire ?
Mountclemens hocha la tête d'un air encourageant.
- Cest là un propos que je n'aimerais pas que l'on répande au Club de la Presse... mais j'ai à présent le sentiment de voir les choses plus clairement. Parfois, je sens ce qui va arriver et je me trouve là où il faut, au bon mnoment. C'est à la fois inquiétant et mystérieux.
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clairemarqu...
28 juillet 2024
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Qwilleran était dzns son élément, en marge de la police où il avait appris son métier. Ses yeux brillaient d'un éclat inhabituel, sa moustache elle-même paraissait plus heureuse.
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clairemarqu...
28 juillet 2024
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- Vous comprenez, c'est un siamois, descendant d'un dieu égyptien. Non seulement il parle et vous explique ce qu'il veut, mais il it les journaux. Un chat qui sait lire est évidemment supérieur à un journaliste qui n'attrape pas de souris.
- II vole aussi, renchérit Qwilleran. Quand il veut grimper en haut d'un meuble, il met ses oreilles en arrière et bondit comme un Jet. II possède une sorte de principe aérodynamique que les chats ordinaires n'ont pas.
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Lilian Jackson Braun : Le Chat qui sniffait de la colle
Olivier BARROT présente le dernier roman de Lilian JACKSON BRAUN, "Le Chat qui sniffait de la colle".
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